
Dans son hebdomadaire entièrement en (mauvaises ?) rimes provençales, Lou Bouil-Abaïsso (28 àctobre 1845), Désanat, l’ex forgeron devenu courtier marron à Marseille, met une fois de plus sa verve provençale au service du pire nationalisme français.Alors que dans la presse nationale, des voix commencent à s’élever contre les crimes de guerre commis par l’armée française lors de sa conquête, alors inachevée, de l’Algérie, et notamment l’action des colonnes infernales, l’enfumage mortel de populations civiles réfugiées...
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